UGC Roxane

"Ambiance relax. Pas d'attente."

"Super cinéma de quartier qui offre une programmation différente et moins commerciale que les gros complexes de banlieue et sans avoir à aller à Paris. Merci à l équipe de continuer à offrir une large palette de films autre que les blockbusters c est ça le cinéma"

"Fait partie de UGC mais n'a pas les mêmes standard de confort que les salles de Parly 2 ou Velizy 2. Mais suffisant pour voir des films qui ne sont pas programmés dans les salles tout public."

"Lors de la séance du 29 juillet 2025 à 18h pour le film amour, j'ai senti à 2 reprises un insecte marcher sur mon bras. En sortant, j'ai demandé au personnel s'il y avait des insectes dans le cinéma, la réponse a été sans appel non, aucun problème ici. Je lis pourtant aujourd'hui plusieurs avis signalant des insectes. Le 30 juillet matin, j'ai vu sur mon bras 3 piqûres qui ressemblent à des piqûres de punaises de lit (cf photo). UGC Roxane, ça serait correct de traiter votre cinéma et à minima de répondre avec honnêteté quand une personne vous signale une alerte."

"C'est sympa. Nous avons eu des places gratuites."

"La salle 2 n'est pas très spacieuse mais le film ; Radio Prague les ondes de la révolte est tellement intéressant que l'environnement est secondaire."

"On essaie de faire fonctionner les cinémas de quartier, mais franchement ça demande des efforts...Acceuil glacial, salles hors d'âge, sièges inconfortables."

"Soirée passionnante autour de la projection du film La chute du ciel avec la présence d'une anthropologue pour répondre à nos questions et contextualiser le film. Merci beaucoup d'avoir organisé cet event."

"Salle 3 trop petite, la caissière renvoie à son collègue car trop occupée, pas de pop corn salé disponible, parking payant, adieu :)"

"Bonsoir. Est il impossible que les caissiers soient aimables et fassent preuvent d un minimum de souplesse pour ne pas être plus désagréable. Lorsque sans crier gare les horaires changent brutalement pour des séances confidentielles déjà . Dommage pour culture et cinéma leur otage"